Jean Christophe
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Vieux jeune auteur rennais, je fais la promotion de mon 1er roman auprès des libraires rennais.
Chez Comment dire, l’accueil est… comment dire… PITOYABLE… Disons-le !
( ce n’est pas le seul mais c’est le pire).
Nous connaissons tous les contraintes inhérentes à chaque profession.
Toutefois, on peut supposer que libraire n’est pas un simple métier comme d’autres, qu’il implique amour des livres et respect des lecteurs et auteurs.
Chez Comment dire, il dit « qu’on ne vend que des auteurs connus de maisons d’éditions réputées ».
Donc pour ceux « qu’on ne connaît pas », sans réputation, ou, allez savoir, de mauvaise réputation, passez votre chemin !
Elles sont loin les promesses du site de cette maison « indépendante », de l’inconnu probablement , « qui cherche à accueillir la parole de ceux qui se demandent comment dire le monde, les êtres… » (sic).
Mais ne cherchez plus cher jeune homme car vous avez trouvé : vos accueillez mal la parole et les êtres et la votre de parole est défaillante, quant à votre être… comment dire… mais mieux vaut ne rien dire.
De plus vous êtes peu physionomiste. J’ai acheté chez vous 3 Pleiades, peut-être même 4.
Ce n’est vraiment pas grave si je ne suis pas placé chez vous ou vendu.J’écris pour donner la parole à ceux qui peuvent l’entendre. C’est le jeu bien entendu.
Mais il y a des manières d’être et d’accueillir les êtres, même s’il s’agit d’un vieil auteur. Mais les auteurs ne vous intéressent pas cher… libraire… s’il est vrai qu’il n’en manque pas comme vous dites ! Heureusement, comme je dis !
Par contre je crois qu’il manque de charcutiers ou de poissonniers, qui sont des métiers dignes certainement, mais qui ne racontent pas n’importe quoi sur leur site. On sait pourquoi on y va. 3 kilos de ceci, 500 grammes de cela, et vous pouvez le vider et mettre du mou pour le chat…
Chez l’épicier Comment dire, on dit :
Vous m’mettrez 5 kilos d’auteurs connus et 2 livres de maisons connues et un peu de mou pour mon chat, et videz-moi ces auteurs inconnus bon sang, ça fait pas propre !
Chez Comment dire c’est comment ça rapporte ! mais en toute indépendance.
Comment dire, disons qu’on sait pourquoi nous n’irons plus chez Comment dire, là où il n’y a rien à dire.
N’y allez pas, n’y allez plus si vous aimez les livres et ceux qui les font naître, dont vous d’ailleurs, car, comment dire, nous faisons tous partie de la même histoire.
